26 nov. 2007

Programmes Rencontres et Fête des amis

Exposition : Du 2 au 20 décembre 2007
Château de Labro - Onet-Village
En semaine et le week-end de 15h à 18h



Musique : Les 15 et 16 décembre 2007
Salle des fêtes - Onet-le-Château
Le samedi 15 :
Les Allumés du Pouce (21h) et In Délirium (22h30)
Entrée 4euros

Le dimanche 16 :
Sylvie Pullès (16h) et Wally (18h)
Entrée gratuite

Rencontres littéraires : 16 déc. 2007
De 14h à 19h - Salle des fêtes - Onet-le-Château

Marché de noël : 16 décembre 2007
De 10h à 19h - Salle des fêtes - Onet-le-Château

Christine Barrès réveille les couleurs

Vingt ans à fixer allègrement le miracle des couleurs, la fraîcheur spontanée des formes géométriques. Vingt ans. Toute une vie, ou presque, à jongler avec le couteau et la truelle. Christine Barrès est une artiste, peintre autodidacte, libre de toute influence. Son travail, à la frontière de l’abstrait et de la figuration – «j’aime cette espèce de balance entre les deux» - s’articule autour de formes géométriques. Un carré, puis un autre, et encore un autre. Le trait, s’il apparaît vif et inflexible, s’assouplit sous le jeu subtil des couleurs. «La couleur, c’est mon travail, elle me passionne, je la partage. C’est elle qui donne l’énergie, la fantaisie et la générosité à l’œuvre. Le sujet, au fond importe peu». Christine Barrès a le geste ample et structuré et ne travaille que sur grand format. «C’est là que je me régale le plus, que je m’exprime. Sur du petit, je me sens coincée, étriquée». Strate après strate, les couches successives de couleurs (vives ou en camaïeu) dévoilent le sujet de la toile.
Dans cet éden de couleurs rouges, orangers, fushias ou anis, il fait doux et chaud. De gros fruits, comme deux personnages en tête-à-tête, semblent discuter et partager un bon moment. Les arbres, également sujet récurrent dans ses peintures, accompagnent Christine Barrès depuis le début. «C’est un thème important pour moi. L’arbre représente nos racine profondes, une identité très forte propre à notre terre». C’est d’ailleurs ce qu’elle présentera, au mois de décembre, au château de Labro. «Une histoire de générosité et de dualité entre les gens et leur terre. En quelque sorte, l’Aveyron vu de mon œil d’artiste».

A découvrir dans l’exposition “Partage d’Aveyron”,
du 2 au 20 décembre, au château de Labro à Onet-le-Château.

André Debru : atout fer…

À l’entrée du village des Costes Gozon, le décor est planté. Un décor de fer et d’acier dans lequel des formes insolites se jouent de l’actualité, des couleurs et du temps. Ici, on entre dans le monde merveilleux d’André Debru, ferronnier d’art.
Il y a bien longtemps, la petite forge du village résonnait, transpirait, rougissait à l’instar de ce fer qui (re)prenait vie sur l’enclume. Là, appliqués et méticuleux, l’arrière grand-père, le grand-père puis le père d’Alain Debru exercèrent le métier de maréchal ferrand. C’est dans ce contexte qu’Alain, tout petit, tirait le soufflet de la forge et, surtout, confectionnait, à 11 ans, ses premiers héros de BD. Pourtant, il n’était nullement question de contrarier son père par «l’exercice d’une profession qui ne servait à rien»... Son métier de forgeron se tournerait donc logiquement vers l’activité agricole. Mais ce qui passionnait Alain Debru c’était «l’envie de créer des choses avec du fer». Malgré les contrariétés suscitées auprès des agriculteurs qui perdaient petit à petit leur forgeron, Alain Debru persistera, pour ne se consacrer, depuis 5 ans, qu’à sa passion : travailler le fer. Celui qui a une histoire, qui a déjà servi. «Des objets parfois bizarres ou insolites qui amènent de la variété, de l’originalité dans la construction». Ainsi, dans la vache et le petit veau qui prendront bientôt place à Decazeville, André Debru a utilisé un vrai pistolet ou des outils forgés pendant la Révolution. Des objets qui ont 300 ans, des petits marteaux, des chaînes, des loquets de porte, un fer à mule (plus étroit et allongé que le traditionnel fer à cheval), un fer à bœuf (que les plus jeunes découvrent)…
Dans son atelier où règne une joyeuse pagaille, sa “cuisine” se concentre dans la poêlée de boulons, de ressorts, d’écrins ou de morceaux de métal auxquels il va (re)donner vie. «Ce sont les grosses pièces qui m’ intéressent, celles qui demandent la création de châssis (pour le corps, les pattes), de positionner le corps ou chercher l’épaisseur. Et comme on ne trouve pas beaucoup de vaches disposées à poser durant un mois et demi, je fais à l’œil et ne fonctionne qu’avec des images». Ensuite, l’étape du remplissage est un véritable bonheur. «Il faut aller chercher le fer dans la réserve, le trier, l’étaler par terre ; les quantités sont vraiment impressionnantes». Enfin, l’assemblage aux soudures classiques achèvera un travail laborieux. Quoi qu’il en soit, le résultat est surprenant, les proportions et les volumes respectés, le travail particulièrement homogène. Tout cela pour un ensemble très solide, qui ne demande aucun entretien, sur lequel la rouille apporte une couleur, une teinte, sans en altérer le fer. Et des œuvres qui participent à nous faire rêver en posant un regard désormais différent sur ces morceaux de fer qui encombrent parfois notre quotidien alors qu’ils illuminent celui d’André Lebru…

A découvrir dans l’exposition “Partage d’Aveyron”,
du 2 au 20 décembre, au château de Labro à Onet-le-Château.

Jean-Paul Douziech, Bras de fer avec la matière

Douziech… Voilà un nom de famille typiquement aveyronnais. Et pour cause. Si Jean-Paul Douziech est né à Montrouge, dans les Hauts-de-Seine, toute sa famille est bel et bien originaire de Rodez. D’ailleurs, le sculpteur revient régulièrement dans le département, où vit encore son frère, pour y présenter ses dernières œuvres. Cet été, il était au château de Labro avec «Le carnaval des animaux et autres». «Cette exposition fait suite à ma rencontre avec Jean Rouquet, le propriétaire des lieux. Comme moi, c’est un enfant du pays qui fait son grand retour. Il m’a proposé sa grange, avec ses 500 m2 et ses lustres vénitiens».
Jean-Paul Douziech raconte volontiers qu’il a toujours fait de la sculpture mais que c’est la rencontre avec Dali qui a été déterminante. «Je me suis orienté vers le surréalisme et j’ai travaillé dans trois directions : le bête, l’ego et le labyrinthe». Il travaille à partir d’éléments de récupération : moulure, plâtre, filasse, métal, et tire de toutes ces accumulations un sujet le plus réaliste possible. « C’est un véritable bras de fer entre la matière et la sculpture qui doit avoir une apparence la plus naturelle possible ».
Pour «Le carnaval des animaux et autres», Jean-Paul Douziech a donné naissance à un bestiaire fantastique. Un Kangou-roue : «qui a des roues donc», un B’œuf : «un bœuf qui sort d’un œuf», un Chameau en Espagne dont les bosses se terminent par des tours, y côtoient le Cheval-vapeur, la Chèvre-feuille et le Rhino-féroce. Un bel univers, propre à faire sourire et rêver.

A découvrir dans l’exposition “Partage d’Aveyron”,
du 2 au 20 décembre, au château de Labro à Onet-le-Château.

Gillian Diez ou l’émotion des corps

Une corpulence massive, des cheveux courts, un regard bleu azuré… On imagine plus facilement Gillian Diez avec son micro de rockeur d’In délirium qu’avec son appareil photo. Pourtant c’est bien le second qu’il a eu en premier entre les mains, un boîtier F3 Nikon argentique. À Paris, chez son père, il passe ses vacances à prendre clichés sur clichés. Aujourd’hui pour lui, la photo «est un besoin». Les siennes font notamment l’apologie de la sensualité féminine, mettant en avant les corps : «Être photographié, c’est donner par le corps» explique-t-il. Il désire capter ce que la personne veut bien lui confier : «Ce qui m’intéresse, c’est de construire avec le modèle et d’utiliser comme force créatrice ce qu’elle me donne ou ce qu’elle retient.» Le noir et le blanc qu’il utilise souvent, «facilitent la transmission d’émotions».
Mais Gillian Diez refuse de se laisser enfermer dans un style photographique : «Tout m’intéresse. Je ne suis pas forcément attiré par le nu» assure-t-il. Sa phototèque, avec ses paysages ou photos d’intérieur, dévoile leur florilège d’émotions et de sentiments.
En tous les cas, le visiteur ne peut rester insensible devant les photos de Gillian Diez. Une vraie découverte.

A découvrir dans l’exposition “Partage d’Aveyron”,
du 2 au 20 décembre, au château de Labro à Onet-le-Château.

Gilles Tordjeman

Longtemps, la vie de Gilles Tordjeman a oscillé entre la musique et la photographie. C’est bien la photo qu’il découvre en premier, au cours de son enfance : «l’appareil de mon père me fascinait». Ne supportant pas de se voir sur les photos de famille, il préfère les prendre. À 18 ans, il a son premier appareil, un Zénith russe. Mais la musique devient une sérieuse concurrente. Originaire de la région parisienne, il file chaque mardi soir au centre américain, boulevard Raspail. L’influence est énorme jusqu’à le pousser à devenir enseignant de guitare moderne. Mais Gilles n’a «pas l’impression d’apporter un plus au morceau que ce qui avait été fait». En 1990, la photo reprend définitivement le dessus ; il s’installe à son compte. Ce qu’il recherche dans l’image, c’est la vie. Il la trouve dans un premier temps dans les paysages dont il s’imprègne, sans réfléchir, pour en restituer l’émotion. Et puis son travail va s’orienter vers les personnes afin de puiser cette spontanéité vivifiante, pas forcément «liées à l’esthétique». Lui qui au départ aimait le refuge qu’était le noir et blanc a appris à découvrir les couleurs brutes, un peu comme celles des tableaux de Miro. Gilles Tordjeman aime donc travailler ces couleurs, souvent primaires, pour faire ressortir l’intensité des émotions. L’effet est souvent…instantané. Lui qui avoue avoir trois passions dans sa vie, la cuisine, la musique et la photographie aura eu la chance d’en faire son métier à chaque étape différente de sa vie... même si c’est son appareil photo qui « l’a amené à faire des trucs incroyables » tels par exemple un périple au Rwanda, pays des mille collines d’une intense beauté, un autre au Japon...
Mais ce que vous propose Gilles Tordjeman, au cours de cette exposition sur le thème de “Partage d’Aveyron”, ce sont des images de paysages aveyronnais sublimés par son œil et son objectif. Que ce pays est beau !

A découvrir dans l’exposition “Partage d’Aveyron”,
du 2 au 20 décembre, au château de Labro à Onet-le-Château.

Les Allumés du Pouce


Les Allumés du pouce, c’est avant tout la réunion « d’une bande de potes qui distille une musique déjantée ska punk dans la joie et la bonne humeur ». Du ska et du punk ensemble, c’est possible ça ? Mais bien sûr monsieur car les cinq membres de notre sympathique groupe aveyronnais viennent d’horizons et de groupes différents (Larsen, Slight, la compagnie du ’tit vélo). Ce qui leur garantit en plus un panel de musiques très variées. Fondé en 2002, ce joli petit monde va sortir un 1er opus “Pousse le vice” et trimballer sa musique de Bayonne à Perpignan, de Bourges à Montpellier. Avec leurs saxo et trompette, ils amènent une bonne grosse dose d’énergie sur scène sans jamais se prendre la tête : ils balancent des textes légèrement engagés mais avec un humour qui leur est propre. Seule la passion de la musique et l’envie de se retrouver les « pouce » à jouer ensemble. Ils préparent leur deuxième album en 2008. Peut-être nous joueront-ils quelques extraits de ce précieux sésame le 15 décembre.

Les Allumés du Pouce
Samedi 15 décembre 2007, à 21h00, salle des fêtes d’Onet-le-Château.
Entrée 4€

Un groupe In délirium


Vous avez déjà vu danser un gorille sur un bon duo oscillant entre guitare électrique et basse ? Non, et bien In Délirium vous propose cette attraction sur scène, le samedi 15 décembre. Cela donne une idée de l’identité que veulent imprimer les musiciens au groupe : « On ne se prend pas au sérieux, on n’est pas super engagé. Je préfère transporter les gens sur un autre univers » explique Gillian Diez, le chanteur. Cela ne signifie pas pour autant que leur musique est légère. Leur rock fluide, sur des textes en anglais, percute tout de suite nos tympans. Depuis quatre ans, ils promènent leur rock fusion rigolo sur les tremplins et les scènes aveyronnaises. À présent, In Délirium se sent prêt à franchir un nouveau palier artistique, plus professionnel. Si avec leur humour habituel second degré, on peut les aider avec cette fête musicale du 15 décembre, à « accéder plus rapidement à la gloire et à une reconnaissance durable dans le milieu du divertissement », on en sera vraiment heureux ! Avec leur ami le gorille à leurs côtés. Cela va de soit !

In Délirium
Samedi 15 décembre 2007, à 22h30, salle des fêtes d’Onet-le-Château.
Entrée 4€

Sylvie Pullès, Reine du folklore auvergnat


On la croise avec son accordéon dans les rassemblements de pays, dans les bals musettes ou dans le village de Saint-Côme-d’Olt où elle habite. Toujours cette même simplicité, qu’elle se produise en Aveyron ou qu’elle monte sur la scène du Casino de Paris. Frappée de longue date d’une passion pour l’accordéon, Sylvie Pullès s’est faite le chantre de la musique traditionnelle et folklorique auvergnate.
La vie de Sylvie Pullès commence dans la campagne cantalienne, en 1972, sur une bonne note. René Pullès, son père, est agriculteur au Battut, non loin de Pierrefort, et musicien amateur. Il anime bénévolement des soirées de mariage, des banquets, pour son seul plaisir et transmet ce virus à sa fille. Elle a tout juste 7 ans, lorsque pour la première fois, elle lui demande de lui prêter son accordéon. « Avec ses 14 kilos, il était presque plus lourd que moi ». Dès lors, l’instrument ne la quittera plus. Au pensionnat de Pierrefort, où elle va à l’école et le week-end, dans les bals où elle suit son père, il est son plus fidèle compagnon. « Ça me plaisait trop, je ne pouvais plus m’en passer ».
Après le lycée de Saint-Flour et un bac littéraire, elle intègre le Conservatoire de Toulouse. « J’y ai fait de tout : piano, chant… Sauf de l’accordéon ». Mais en même temps, la jeune Sylvie se forge une culture, sa culture auvergnate, pétrie d’amour pour la musique traditionnelle et son folklore, qu’elle brosse si bien dans ses chansons : « J’ai cet attachement à la terre et aux traditions d’autrefois. Dans notre village, les gens se rencontraient le soir, pour les veillées, au moins une fois par semaine ».
Dans les bals et autres fêtes où elle se produit, Sylvie Pullès rencontre un public enthousiaste, un succès toujours plus grand et enregistre sa première cassette en 1993. Son CV, depuis, s’est largement étoffé et compte pas moins d’une dizaine de CD, cinq vidéos et quatre DVD. L’Aveyron et l’Auvergne tout entière trouvent leur plus beau portrait à travers les musiques de cette enfant du pays, qui par deux fois, a rempli le Zénith de Paris aux côtés des plus grands : André Verchuren, Yvette Horner et Michel Pruvot. En mars dernier, elle était même la première accordéoniste invitée en tête d’affiche au Casino de Paris. Un live, en CD, vient tout juste de sortir.

Sylvie Pullès
Bal à 16h, le dimanche 16 décembre à la salle des fêtes d’Onet-le-Château.
Entrée gratuite

Wally part dans tous les sens


Conneries en tous genres… C’est pas moi qui le dit, mais Wally, en personne ! C’est dire si l’homme ne se prend pas au sérieux quand il évoque son dernier spectacle ”Absurdités protéiformes“. Le dernier ? Oui, pour tous ceux qui ont vu les précédents. Sinon, ça ne compte pas, c’est comme si c’était le premier. Vous trouvez que c’est bête ? Un peu extravagant peut- être. Mais tellement logique en fait. “Absurdités protéiformes” donc, c’est la dernière fantaisie de Wally, le trublion aveyronnais originaire du Bassin, éternellement affublé de bretelles. Et comme le titre l’indique peut-être, la vidéo se glisse de façon ingénieuse dans la trame de ce numéro très divertissant. Dans un décor inexistant, Wally, habitué à jouer seul sur scène, ne l’est plus tout à fait. Sur l’écran, son double virtuel, des amis et de parfaits inconnus l’accompagnent, échangent, commentent. On peut aussi citer sa fidèle guitare, qui ne le quitte que très rarement. Vous l’aurez sans doute compris, « Absurdités protéiformes » se déroule, de façon évidente, en musique et en chansons.
Après l’intervention « télévisée » du refroidisseur de salle (par opposition au chauffeur de salle), qui incite à des applaudissements silencieux et à des rires intérieurs, Wally se lance, avec une spontanéité et une fraîcheur toujours surprenantes, dans une analyse de nos comportements quotidiens. Le comique se pose des questions, beaucoup de questions « qui me hantent, qui me guettent, des questions somme toute un peu bébêtes. Parfois, c’est difficile d’habiter dans ma tête ». Oui, on veut bien le croire. Tenez, par exemple, « Dans quel sens tourner la langue dans la bouche des filles ? Pourquoi les femmes ont-elles la bouche ouverte lorsqu’elles se maquillent les yeux ? S’il y a une vie après la mort, pourquoi cotise-t-on à la retraite ? ». Les statistiques : « Le corps humain est composé à 70% d’eau. Sauf la nuit du premier de l’an », la maladie : « J’ai un copain qui a fait deux attaques. Je l’appelle la diligence », les vieux : « Moi je voudrais vivre vieux pour tester ces fauteuils qui remontent le long des escaliers et ces baignoires à porte qu’on voit à la télé », la presse aveyronnaise : « J’aime les journaux locaux. Parfois je découpe des photos dedans », Wally part dans tous les sens et rit de tout… Et nous public, on ne peut que rire avec lui.
Alors venez découvrir le dimanche 16 décembre à 18h son dernier spectacle «Absurdités protéiformes» !

Wally “Absurdités protéiformes”,
le dimanche 16 décembre à 18h. Salle des fêtes d’Onet-le-Château.
Entrée gratuite

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Chers Amis,

Pour être au plus près de l’Aveyron, nous avons pris trois décisions :

1) Celle de créer « Les Amis d’Aveyron Magazine »
une association qui aura le privilège de participer au développement
d’Aveyron Magazine mais aussi de vous faire bénéficier de réductions,
d’invitations et d’animations que seul Aveyron Magazine ne pouvait réaliser…

2) Celle de lancer les “premières rencontres des Amis d’Aveyron Magazine”…
sous forme d’une exposition de peintures, de sculptures, et de photographies
au Château du Labro du 2 au 20 décembre ;
sous forme d’un concert plutôt rock le Samedi 15 Décembre
avec « Les Allumés du Pouce » et « In Délirium »,
à la salle des Fêtes d’Onet-le-Château.
(L’entrée sera de 4 euros seulement).
Quand au Dimanche 16 décembre de 10h à 20h,
à la salle des Fêtes d’Onet se combineront,
bal avec Sylvie Pullès, spectacle musical avec Wally,
rencontre de plus de 20 auteurs qui signeront leurs ouvrages
et marché de Noël avec des artisans.
La fête sera joyeuse et familiale (un coin sera dévolu aux enfants)
gratuite et généreuse.






3)
La troisième initiative sera de passer en mars 2008 mensuel et de faire de votre magazine un magazine plus culturel, plus artistique, plus quotidien, plus près des 46 cantons, de notre vie rurale et de ses acteurs.

Voilà c’est pour cela que nous vous convions à rejoindre
«
les Amis d’Aveyron Magazine» en y adhérant ou en vous rendant
à Onet-le-Château (le 15 et 16 décembre)
ou au Château de Labro du 2 au 20 décembre
(les week-end et durant la semaine de 15h à 18h).

Hugues ROBERT
Directeur de Publication d’Aveyron Magazine

Jean Michel COSSON
Président de l’A.A.A. (Association des Amis d’Aveyron Magazine)